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Voyance Médium SinelaToulouse

24 mai 2016

Ma vie avec la médiumnité

 Bonjour à tous et à toutes,

Je vous souhaite une bonne visite sur mon blog

, prenez soin de vous.  Sinéla.

               

 

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11 novembre 2014

Purifier simplement une maison - éliminer la plupart des ondes négatives

Ce rituel est destiné a créer un environnement paisible et favorable au sein du logement.

J’utilise de la sauge blanche Amérindienne, de préférence des bâtons de fumigation.

A cet effet je vous conseille d'ouvrir une ou deux fenêtres dans votre habitation et de favoriser ainsi la circulation de l'air pour mieux chasser le négatif de votre maison.

Il suffit d allumer le bâton de sauge, de le laisser se consumer, la flamme va s’étouffer d’elle même et le bâton dégagera une fumée, faîtes alors le tour des pièces de l’habitation pour répandre uniformément les odeur et fumée.

Une méthode simple et efficace !

Sinéla

22 août 2014

A ma Grand-Mère ...

A l’époque où  j’ai perdu ma grand mère, j’étais chagrinée de pas avoir pu assister a ses obsèques,
malheureusement...
Avant son décès nous avions eu un appel téléphonique de ma tante, disant a mes parents de venir rapidement, ma grand mère était malade d’un cancer en phase terminale, il ne lui restait plus beaucoup de temps....
J’avais une seule envie c était de partir avec mes parents, mais c’était en période scolaire et pour mes parents il était hors de question que je vienne avec eux ; j avais beau pleurer, supplier,  rien n’y a fait.

En effet ma grand-mère vivait a l étranger, elle venait de temps en temps en chez nous, en France, pour nous voir...
Ce jour là donc, après cet appel téléphonique, mon père a pris deux billets d’avion pour rejoindre le lendemain sa mère, ma grand-mère, avec ma mère ; pouvoir embrasser et voir ma grand-mère une dernière fois.
Lorsqu’ils sont arrivés devant la maison, à peine descendus du taxi, ils n’ont pu que constater que ma grand mère venait juste de rendre son dernier souffle...
De mon coté je savais que je n’aurais plus l’occasion de voir ma grand mère...
 Mais j’avais le sentiment d’être toujours en contact avec elle, ma grand-mère était présente dans mes rêves de petite fille, et je la sentais prêt de moi...

Quelques années plus tard je me suis décidée à partir et à faire en sorte de me recueillir sur la tombe de ma grand mère, j’éprouvais ce besoin de me recueillir, une manière de me raccrocher à elle alors qu’elle n’était plus là...comme un besoin viscéral.

Je n’avais pas donc pas assisté à son enterrement, je ne parlais pas non plus ma langue natale pour avoir ce pays depuis longtemps et j’avais du mal à me faire comprendre ou à comprendre.

Je suis arrivée dans un cimetière qui se trouve donc à Oran, un endroit immense où se comptent des milliers de tombes.

Je me suis demandé alors comment j’allais faire pour la retrouver, pour trouver la tombe de ma grand-mère parmi des milliers d’autres. Alors dans mon esprit j’ai fait comme une prière, m’adressant à elle : « Aide moi s’il te plaît, j’ai fait temps de kilomètres, je sais qu’il ne reste rien de toi juste des traces de ton corps physique, mais grand-mère, aide moi ! …
Puis un silence jusqu’à l’intérieur de moi se fît, et j’ai fini par entendre ces paroles, une voix familière : « Retourne-toi je suis juste derrière ! », le temps de me retourner, de balayer les épitaphes devant ma moi et j’ai pu apercevoir le prénom de ma grand-mère.

J’étais moi-même incrédule devant ce que l’on aurait pu considérer comme une coïncidence,  il paraissait impossible que je retrouve cette tombe, du moins improbable, au mieux une chance sur mille de la retrouver directement.

Paradoxalement, à cette découverte c’est l’euphorie, un état d’euphorie totale qui m’a gagnée, et j’ai ressenti le besoin de remercier ma grand-mère, pour m’avoir aidée…
Ce jour là j’ai enfin pu me recueillir sur sa tombe,  j’étais de nouveau en paix avec moi-même.

 A mon retour, mon père s’est exclamé « ma fille il était impossible pour toi de trouver le lieu de sépulture de ta grand mère, le cimetière est immense.. », je lui ai juste rétorqué : « grand mère m’a guidée jusqu’à elle papa !

Sinela

26 mars 2014

Col du fémur

A l’époque étant plus jeune je faisais énormément de sport, ce n’est plus le cas aujourd'hui, j’étais plutôt très douée mais suite à un accident de voiture je n’ai jamais pu retrouver mon niveau, et  j'ai donc préféré arrêter.
C’est alors que j’ai rencontré un garçon un peu plus âgé que moi, je vais le prénommer F...  C est une personne avec qui j'ai toujours plus ou moins gardé contact.

J’étais déjà allée chez lui et je connaissais sa famille, il avait une grand même du nom de Nanah un prénom assez original, elle vivait chez eux et c’était une dame très gentille.

Les années sont passées et je ne voyais plus Nanah, je ne croisais plus F…. que de temps en temps.
A cette époque je travaillais de nuit, j’avais des horaires assez chargés, mais également pas mal de jours de repos.
Après avoir travaillé toute une nuit je décidai de passer ma journée à la maison, juste à prendre le temps de flemmarder avec un bouquin sur mon canapé ...
C’est alors qu’un instant j’ai ressenti comme un regard se poser sur moi, il me semblait  qu’on me regardait, que je n’étais plus seule dans la pièce ; j’ai levé mon regard, et c’est alors que j’ai pu distinguer la grand mère de cette ami, je veux parler de Nanah. J’ai juste eu le temps de la regarder,  il n’y a eu aucune communication, ni télépathique ni sous une autre forme, mais elle se tenait devant moi en se tenant le coté de sa hanche ; ressentait-elle une douleur ?
L’instant d’après elle  a disparu de ma vue, cela  n’avait duré que l espace d une seconde. Je me suis alors interrogée, que faisait-elle à cet endroit devant moi ? J’étais toute retournée.
Quelques jours plus tard je décide d’en parler à mon fils, lui racontant ce que j’avais vu ; et là comme à son habitude, calme de me rétorquer : « Si tu l’as vue c’est qu’elle n’est plus là ! ».

J’ai finalement décidé de contacter cet ami pour lui proposer de boire un café et de discuter, je ne voulais pas parler directement de sa grand mère....

Nous nous sommes donnés RDV dans le café d’une galerie commercial de la région Toulousaine ;
il était content de nous voir moi et mon fils, et avons discuté des heures de sa vie et de la mienne...

J’appréhendais le moment de prendre des nouvelles de sa grand-mère, et comme il n’abordait pas le sujet je me demandais à quel moment nous allions parler d’elle ; quand finalement j’ai trouvé le courage de tout simplement lui demander des nouvelles de Nanah.

J’ai donc posé la question, et aussitôt il m’a répondu avec un regard triste : « elle est décédée il y a 8 mois ; elle s’était cassée le col du fémur, puis elle s’est ensuite dégradée au fur et a mesure, avant qu’un jour on la retrouve au matin sans vie » ;  j'étais désolée pour lui...

Mon fils m’a alors regardée pour me dire : « t’a vu ? Je te l’avais dit! ».
Désormais je comprends  pourquoi elle se tenait le coté de la hanche lorsque je l’ai aperçue, elle s'était tout simplement cassée le col du fémur.
Je n’ai rien dit à cet ami pour ne pas le troubler, sachant de plus qu’il n’est pas du tout sensible à ce genre de phénomène.
Mais dés cet instant, dès sa révélation j’avais la réponse à toutes mes interrogations !

Sinéla

25 mars 2014

L'histoire de David, parti trop tôt, son message à Laurie.

Un jour j’ai rencontré David via un ami et je ne l’ai jamais revu par la suite; j'ai juste gardé contact via facebook, toujours un petit coucou de temps en temps, mais ne parlant jamais avec lui de nos vies respectives. Au demeurant il paraissait être une personne sympathique.
Mais voilà le temps passait et un jour, me connectant sur le réseau social, j’apprends via son entourage que David était parti rejoindre les étoiles ; là je tombais des nues et je me contentais sobrement de poster comme s’il pouvait le lire : « Repose en paix.... ».
J’étais chagrinée d’apprendre qu’une personne aussi jeune parte si tôt, je me souviens que c’était en août, et à chaque date anniversaire je prie pour cette personne, comme pour d’autres, même si je ne les connais pas, car il est important pour elles de s’élever, vers d'autres cieux.

Après ce drame j’ai continué ma vie, vaqué à me occupations quotidiennes.
 Les fêtes de noël approchaient, puis le jour de Noël.

A ma grande surprise, le lendemain de Noël, le 26 décembre donc, j ai eu la visite de David ; j étais aussi surprise qu’heureuse de le voir aussi vivant en apparence ; il venait me demander de transmettre un message pour Laurine son amie (j’avais compris Laurine lors de cette rencontre).
Il ne s’agissait alors pas d’une communication verbale, pas du tout ; mais d’une communication via des émotions de la télépathie. Bien que ce langage ne fût pas ordinaire je parvenais à comprendre tout ce qu’il disait !

David me dit alors  "Dis à Laurine que je l'ai véritablement aimée, même si je n’ai pas eu assez de temps, les quelques moments passés à ses cotés on été intenses ! » Et de répéter « je n’ai pas eu assez de temps pour profiter avec elle, mais dis lui que je l’aime.
Cependant David ajouta « Mon dieu j’ai quand même profité de cette vie", m’expliquant qu’il adorait faire la fête. Voilà en substance quel était son message.

Mais de mon coté je me suis rapidement demandé comment j’allais remplir ma mission, et comment j’allais m’y prendre pour entrer en contact cette Laurine. Comment allait-elle réagir ??

La peur de sa réaction, qu’on puisse me prendre pour une dingue m’étreignait; ce que j’allai lui raconter relevait plus d’une Série TV....
Prenant des conseils autour de moi, de mes proches, je me suis laissé dire «Essaye de la contacter, elle a peut-être besoin de savoir.. » D’autres au contraire me mettaient en garde : « Laisse la faire son deuil, elle va te prendre pour une folle! ».

J’ai donc gardé ça pour moi un temps, je culpabilisais de conserver ce message, et en même temps je vivais avec le pressentiment que j’allais être rejetée si je disais à cette personne ce que je considérais être un message de David.

C’est alors que 2 mois après la visite de David, alors que ma détermination à chercher Laurine grandissait, David reprenait contact avec moi. Il m’expliqua le déroulement de la scène, celle de sa disparition aussi tragique que soudaine.
D’une main David me montra une prise d'électricité défectueuse, et j’avais du mal à comprendre. Puis
il me dit qu’il ne s'était pas rendu compte de son départ, qu’il avait continué son action et que tout était allé très vite ! De m’expliquer qu’il n’avait rien senti, qu’il avait eu l’impression de continuer...
Ce n’est qu’un peu plus tard qu’il s’est rendu compte qu’il n’était plus de ce monde !

Après ce nouveau contact j’ai pris conscience que je devais essayer d’entrer en contact avec Laurine, la chercher d’abord ; c’était important de partager cela avec elle.

J’ai alors cherché via le même réseau social dans les contacts de David, et j’ai fini par trouver une certaine « Laurie » et non « Laurine » comme j’avais crû comprendre. La photo de David était sur son profil et ne laissait guère de place au doute. Que devais-je faire et comment ? Plusieurs semaines sont passées pendant lesquelles je m’interrogeais sur l’attitude à adopter, que devais-je faire exactement ? J’avais peur de sa réaction, je ne voulais pas ajouter à la douleur...
Et finalement j’ai décidé de me lancer, me disant « tant pis tu verras bien ! … ».

Après avoir fait une demande de contact à Laurie via le réseau social, je me suis présentée comme quelqu’un qui percevait les entités, que je ne faisais rien pour cela, que celles-ci venaient à moi tout simplement, j’étais ce que l’on appelle un medium…
Elle prit le temps de m’écouter, mais pour rapidement se moquer de moi, arguant que j’allais probablement lui demander de l’argent ; et moi de rétorquer : « Non c’est juste David qui m’a choisie pour te transmettre un message. »

Elle a plutôt mal réagi, disant que c’était impossible, que David était mort, que je n’étais probablement et certainement une charlatane, que j’avais eu les quelques informations en ma possession via les réseaux sociaux. Mais quel était mon intérêt ? D’autant que rapidement, il était évident qu’elle ne me croirait pas, qu’elle ne voulait pas croire en tout cela.
Par conséquent j’ai dû me contenter de délivrer mon message à Laurie, celui de David, de remplir ma mission comme elle devait être faite, sans que je puisse l’expliquer.

Il n’y a pas eu de discussion, Laurie restait imperméable, mais je persistais à donner mon message et finalement je coupais court à toute idée de renouveler le contact.

Aujourd’hui encore je me demande si faire cette démarche, délivrer ce message à Laurie, était la meilleure décision; aujourd'hui elle n’y croit toujours pas. Mais avais-je une alternative ? Je me rassure en me disant que le temps passant, Laurie fera son deuil et se montrera plus à l’écoute.


Sinéla

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11 février 2014

Souvenirs de vacances en Aveyron

A l’époque j’étais partie un temps en Aveyron vivre chez une tante  plutôt baba cool et sa fille, ma cousine, avec qui  je m entendais déjà très bien, que j aime beaucoup : elle est très marrante !
Après des études de journalisme ma tante s’était installée dans une radio locale, en qualité de journaliste ; je dois dire que c’est un univers que j’apprécie beaucoup! D’une certaine manière j’ai baigné là dedans une partie de mon enfance. Elle avait régulièrement des réunions et elle devait alors confier notre surveillance à d'autres personnes.

Ma tante connaissait très bien un couple de boulangers ; et moi pour une raison que j’ignorais, je détestais véritablement l'homme, le boulanger ! Je n’étais pourtant pas une enfant sauvage …
Un jour ma tante, la maman de Céline, nous dit qu’elle ne pourrait pas nous garder et nous confia au couple de boulangers, stipulant à Céline de ne pas faire de caprice.

Nous sommes donc malgré nous arrivées en voiture devant la maison, et là impossible de descendre ! Je ne voulais pas. Le boulanger essayait alors de me parler, mais je lui rétorquai de ne pas s’approcher de moi, « Je ne t’aime pas !! » je lui répétais sans cesse. J’avais la certitude qu’il faisait des choses pas bien, mais comment aborder le sujet avec ma tante !?
Ma cousine est finalement descendue de la voiture, malgré mes supplications pour l’en décourager : « Ne reste pas chez eux !! » De mon côté je refusai obstinément de descendre de l'auto.

Ma cousine me regardait, en tentant de me convaincre encore « mais non ils sont sympas », elle avait pris l’habitude, et aimait jouer avec les filles du couple.

J’avais le sentiment d’abandonner ma cousine seule, et je m en voulais, peut-être n’était ce qu’un caprice … Ma tante résignée m’amena finalement chez une copine à elle qui avait bien voulu de moi.

Lorsque nous fûmes de retour chez le couple de boulangers, ma cousine n'était plus la même ;  elle était devenue distante et froide, elle allait garder son secret pendant bien des années…
J avais pu constater qu'elle était assez garçon manqué dans son comportement sans vraiment prêter attention... aujourd’hui encore je reste en contact avec elles, ma tante et ma cousine, malgré la distance qui n’aide pas.

Des années plus tard donc, ma cousine me contacta un jour pour m’inviter à passer une semaine avec elle, et j’acceptai.
C’est à l’occasion de ce séjour qu’elle me raconta ce qu’elle avait subit de la part de cet homme, de ce boulanger ; des attouchements, des menaces, et tout le reste !

Ce n’est qu’après plusieurs années de silence qu’elle s’est enfin décidée à porter plainte.

Petite j’avais déjà des pressentiments, et des sensations assez fortes; elles ne se sont pas atténuées avec le temps, bien au contraire.

Aujourd’hui mon fils a 16 ans, il est de ce point de vue à mon image ; il doit vivre avec le même don que moi ; mais il le refuse encore catégoriquement. Il ne veut pas en entendre parler pour l instant...

Sinéla

8 février 2014

L'expérience d'une maison de retraite, un souvenir singulier !

A l’époque je travaillais de nuit dans une maison de retraite, pour des raisons personnelles je ne pouvais travailler en journée...
J’étais en binôme avec une dame assez aigrie, je pense que ces années de métier l’avaient usée aussi bien physiquement que moralement...
Cela ne m empêchait pas de bien m entendre avec elle...

Quand j ai débuté mes premières nuits je sentais lors des rondes que je n étais pas toute seule, il m’arrivait souvent de voir des silhouettes, je faisais alors appel à tout mon courage et j’y allais même si ce n’était pas toujours très agréable.
J’avais régulièrement des soucis avec mon téléphone, de grandes difficultés pour contacter ma collègue selon que je n’avais plus de batterie, ou bien qu’il sonnait sans que personne ne soit au bout du fil...   Je savais qu’il s’agissait d’une manière de me dire : ils sont là! Et à chaque fois je priais pour eux, intérieurement (Pour ceux qui n’ont pas lu mes précédents messages je fais référence là aux défunts et à leurs manifestations que je ressens).
Le pire était sans doute d’entendre retentir les différentes sonnettes ! Cela sonnait sans discontinue alors que les personnes n’avaient pour la plupart pas demandé d’aide ; je me disais d’abord qu’ils avaient peut être actionné leur sonnette par mégarde…

Puis un soir je me suis dis « Ok !, vous êtes là à coté de moi, la seule chose que je puisse faire : c’est prier pour vous, et essayer de vous accompagner vers la lumière ! »

C’est alors que cherchant de leur part un acquiescement, je leur ai demandé cette fois-ci d’actionner la sonnette chez une dame qui était entièrement paralysée, il était impossible qu’elle l’actionne par elle-même, étant dans un état végétatif!

J’ai naturellement continué  mon travail, et un peu  plus tard, alors que j n’y pensais plus, la sonnette a retentit depuis dans la chambre de cette dame ! J’ai aperçu la peur dans le regard de ma collègue, qui comme pour se rassurer s’exclama : «c’est impossible elle ne peut pas sonner » ; à partir de ce jour cette collègue devait d ailleurs refuser de travailler ou de faire des gardes toute seule...

Une autre fois nous étions en train de boire un café en  salle de pause, et nous discutions tranquillement alors qu’il devait être 23h00 ; j’entendais comme une personne marcher avec une canne avec des pas relativement lents, je me suis dit alors qu’un patient devait déambuler dans le couloir... mais non ! Personne dans le couloir !!  Cela devait par la suite se reproduire assez souvent.

L’ascenseur faisait également des siennes ! Personne pour actionner le bouton et la porte s’ouvrait et se refermait toute seule...

Il y a énormément d’activités extraordinaires dans ces lieux là, comme dans les hôpitaux, finalement  cela paraît logique, des âmes errent dans ces endroits pour différentes raisons, sur les lieux de leurs derniers jours sous forme corporelle probablement.

Sinela

6 février 2014

Mon oncle Alain, l'expérience du deuil

Je vais parler d une personne que j’aime plus que tout au monde, il n’est malheureusement plus à mes cotés, mais il n’y a pas un jour où je ne pense à lui...
Cette personne c’est mon oncle Alain, c’est pour moi comme un deuxième père, et je suis un peu sa fille car il n'a jamais eu d’enfant (Remarquez que je ne peux m’empêcher de parler de lui au présent).

Dans la vie il était toujours là pour me soutenir, la relation que j’avais avec lui je ne l’avais même pas avec mon propre père.

Il a toujours été là, dans les coups durs de la vie comme dans les bons moments bien sûr !
Grâce à lui j’ai pu avoir mon premier appartement, et mon permis de conduire du premier coup.

Mon dieu qu’il était patient avec moi…car j’ai un caractère plutôt fort !
Nous avions une relation très fusionnelle et il me connaissait mieux que personne.

J’étais aussi très proche  de grand mère Mamie Blanche comme Alain son fils adorait la surnommer, elle avait des cheveux entièrement blanc !
 Je m attendais à ce qu’elle parte, Mamie Blanche, donc je m étais préparée a son départ de l autre coté !
Un jour Alain mon oncle me téléphona pour me dire que mamie n était plus là, elle venait de faire un AVC ; je faisais donc le nécessaire avec lui et je l'aidai à préparer les obsèques.

Les funérailles passées je partais souvent dormir dans la maison de Mamie, j’étais témoin de manifestations telles que le bruit des placards claquant, ou bien comme si une personne faisait tomber de la vaisselle par terre ; mais je n’osais jamais descendre pendant la nuit, j’avais peur et je restais dans la chambre fermée à clé. J'étais de plus toute seule avec mon fils...Je parlais de tout ça avec Alain qui s’empressait de me rassurer : Il me parla d’ailleurs de l’urne de ses parents qui se tenait dans la maison et je compris alors immédiatement ce qui se passait ...

A l’époque je cherchais avec mon oncle un logement sur Portet sur Garonne, je voulais une maison de village en bord de Garonne, mais peine perdue il n’y avait aucune maison correspondante ... Je me suis donc résignée à chercher, et j’ai du rester entre mon appartement et la maison de mamie pendant pas mal de temps.
1 an plus tard, Alain, mon oncle, est lui aussi parti rejoindre les étoiles...

Ce fût un choc indescriptible, non pas je ne savais pas qu’il allait mourir jeune ;  mais je n’étais tout simplement pas prête à ce qu’il parte aussi vite… nous avons beau nous y attendre, nous ne sommes jamais prêts à la perte d un être cher!

J’avais jusque là besoin de lui comme de béquilles dans la vie!

Par la suite je continuais à communiquer avec lui, ou par rêve. Pour autant je devais rester enfermée dans ma dépression, il me manquait plus que tout !

Un jour enfin,  je décidai de reprendre mes recherches pour trouver une maison, cela faisait déjà quelques mois qu’Alain était parti.
C’est alors que j’ai reçu un appel, me disant qu’il y avait une maison sur la commune où je cherchais, en bord de Garonne ; un petit clin d'oeil d Alain…

J'étais pourtant encore très en colère de son départ, je sais aujourd’hui que ce n’est pas bien,  je suis bien placée pour cela, je retenais mon oncle ici au lieu de lui envoyer tout mon amour, mes prières,  je le retenais avec tout mon chagrin et ma colère ; je faisais exactement le contraire de ce qu’il voulait.

Un soir je me suis mise à écrire une lettre, que je n’avais pas osé déposer sur sa tombe, le soir même il est venu me parler pour me dire qu’il l'avait reçue, qu’il m aimait et qu’il répondait a ma lettre...Tout se passait par une sorte de  télépathie ; ils ne peuvent pas nous parler les défunts, mais au travers des émotions nous pouvons les comprendre ... ils communiquent comme cela.
En dépit des preuves je n arrivais pas a remonter la pente, j ai hurlé longtemps pour que le bon Dieu m’emporte  et j’ai demandé à mon oncle qu’il vienne me chercher. J'étais malheureuse ; pourtant mon fils avait besoin de moi, mais je restais concentrée sur ma douleur et rien d autre...

Quinze jours plus tard j’ai commencé à être malade, je passai voir le docteur qui me rassura,  je n avais selon lui qu’un vilain virus et il me donna juste de quoi me soulager, quelques "Doliprane"...

Mais voilà qu’en l’espace de 2 ou 3 jours mon état s’empirait, c’est alors que j’ai été transportée à l’hôpital dans un état grave ; je faisais une septicémie. Je suis vraiment passée tout près d’être exaucée dans mes prières d’alors….

A ce moment là j’ai réalisé qu’il fallait que j arrête !

Après beaucoup de repos je suis rentrée chez moi, je me souviens du soir de mon retour, et maintenant je peux vous dire que les défunts aussi, savent se faire entendre quand il le faut ;

Je crois que mon oncle me parla comme jamais, j ai rêvé de lui, il me disait seulement qu’il fallait que j arrête tout ça, de l empêcher de s’en aller, que je le retenais ici a mes cotés, alors qu’il fallait que je continue à vivre !! Mon oncle était en colère, mais une colère qui trahissait pour moi un amour infini...

Si je continuais comme cela, le contact allait se rompre me disait il…

Aujourd’hui je suis toujours en contact avec Alain, mais le plus souvent par de petits signes du quotidien ! ou des rêves ! je suis apaisée car j’ai réussi à faire mon deuil ...

Je suis passée par la douleur, elle est immense, mais il faut avancer car vient le jour où tout le monde se retrouve !
Le temps semble ici bas quelque fois long, mais il est tellement court là bas !
Si vous avez du mal à faire votre deuil, ne faîtes pas comme moi, personellement j'ai finalement compris, mais il m’a fallu du temps...
 
Allez chercher de l aide autour de vous, ou bien avec des associations d’aide suite à un deuil, je connais par exemple celle de Toulouse : « Source de Vie » (www.sourcedevietoulouse.com).

30 janvier 2014

MON HISTOIRE

Tout a commencé a l âge de 7 ans, lors du déménagement dans un nouveau logement, je dormais seule dans une chambre isolée des autres.
C’est alors que j’ai commencé à percevoir des manifestations vraiment pas agréables : des bruits, chuchotements, des mouvements, des odeurs, des silhouettes sombres; et me semblait-il des défunts ou personnes décédées.

Je  faisais au mieux pour me  rassurer, je sentais que je n étais pas seule. Je n’avais qu’une envie : crier ! J’avais la certitude que mes parents ne pouvaient rien faire, et j’avais surtout peur de me faire gronder!
J avais peur d'être confrontée au regard de mes parents, de mes frères et sœurs, comment en parler, sans être ou passer pour une folle ?
Le jour où j’ai commencé à essayer d’en parler, personne ne m’a prise au sérieux.  Au moment du coucher, je disais un « mon dieu protégez moi », la boule au ventre.

Puis un jour j’ai été confrontée a des "agressions" la nuit : cela devenait physique !!, à recevoir des tapes sur la tête, des gifles, à me faire tirer les cheveux...

Ce n’était pas mon imagination, il ma fallu des années pour l’admettre et la rencontre avec une medium pour le réaliser!

Pour revenir sur mon histoire ;  il y avait des fois où je ne pouvais absolument pas bouger,  aucun son ne pouvait sortir de ma bouche,  je subissais les terreurs et les agressions ;

 ne le supportant plus j ai commencé à hurler, ma mère et mon père ne comprenaient pas; ils me disaient que j avais une imagination débordante, mon père me hurlait dessus pour me réprimander, ma mère elle faisait tout me rassurer.
Cela a continué jusqu’à mes 12 ans, j'ai du encore endurer ces manifestations, ma mère m’a alors accompagnée chez une dame que je ne connaissais pas à l’époque et discuta longuement avec elle.
Ce que je devais savoir plus tard, c’est que cette dame lui disait que j avais un don pour voir certaines choses! qu’il fallait m’en protéger.
Cette dame est venue chez mes parents, pour faire une purification  des lieux ; disant que dans notre nouvelle habitation des gens avaient réalisé des rituels occultes! Il fallait donc « faire partir les mauvais choses les mauvais âmes et le très bas astral » !

Dieu merci, j ai commencé à être beaucoup plus tranquille : plus d’agression, et la maison a retrouvé progressivement son calme ...
Un jour je me suis mise à prier plus fort que d’habitude, je savais que ma grand mère était très malade, j’avais une peur bleue de la perdre et dans le même temps je savais qu’il lui restait peu de temps à vivre. Elle devait effectivement décéder 3 jours plus tard.
J ai alors vu une lumière blanche, mon dieu très douce avec du bleu scintillant ; je ne croirai jamais à un tour de mon imagination, c’était bien réel, ça a duré l’espace d’un instant ; le temps m’a alors paru long et rapide a la fois. J’ai eu cette chance de la voir une fois dans ma vie! Je ne l’ai plus jamais revue depuis.
J ai continué pendant mon adolescence à voir les événements concernant l’avenir, sous la forme de « flashs ».

Un autre jour mon père décida de partir voir sa famille  en Ardèche, et demanda à ma sœur et à moi de l accompagner. Je me souviens que je ne voulais absolument pas partir ! Mais ma mère me força,  je me souviens alors que je pleurais à chaude larmes.
Sur la route mon père décida de téléphoner à ma mère pour la rassurer ; je pris alors le téléphone et dis à ma mère de demander à papa de faire demi-tour, nous allions avoir un accident!

Ma mère s’est mise à hurler pour me dire d’arrêter de dire des bêtises….

Sur la route, juste avant d'arriver en famille, nous avons effectivement eu cet accident : mon père n’a pu éviter le conducteur d'en face qui s’était endormi au volant.
Au moment de l impact, j ai aperçu ma grand mère qui était décédée, elle était a coté de nous je le savais alors très bien, et elle nous a protégé !
C’est à partir de ce jour là que ma mère à commencé à me prendre au sérieux ...
Plus tard ma mère devait m'amener chez des amies à elle, elle préparait le café et nous étions dans le séjour à papoter ; mais voilà que d’un seul coup j’apercevai un mouvement au fond du couloir, sans le comprendre, comme si une personne passait à toute vitesse.

L’amie de ma mère me demandait alors interloquée pourquoi je regardais fixement de ce coté!!

Elle nous raconta que ses enfants avaient du mal à dormir, qu’ils faisaient régulièrement des cauchemars ;   et je lui ai répondu qu’il avait une personne au fond du couloir, qui se cachait dans un cagibi. Je me souviens qu’elle m’a regardée les yeux exorbités, et  j ai vu la peur dans son regard.

Effectivement elle finit par nous confier que l’ancien locataire s’était suicidé avec un fusil, qu’il fallait absolument qu’elle prie pour son repos, car elle avait le sentiment qu’il était toujours dans se lieux.

J’ai continué ma vie, et à l âge de 16 ans j ai  commencé un apprentissage dans une boutique  en qualité de vendeuse dans la ville de Toulouse, un vieux quartier commerçant ; dans une boutique ancienne qui à mon grand soulagement n’existe plus aujourd’hui.
Un matin je commençais mon travail, et comme à mon habitude, je rangeais les rayons.
Au premier étage et sous les toits il y avait un endroit que je détestais,  j’y ressentais en effet des âmes perdues ; mais il m’arrivait d’être obligée d’y aller pour y monter des vêtements en retouche ou autre.
Alors que j’étais à cet endroit en train de ranger ces vêtements, au premier étage, je vis en me retournant une dame, et je lui dis « bonjour ».

Mais alors je réalisais qu’il était impossible qu’une cliente se trouve là à cet instant, car il n’y avait point d’accès, je posais juste les vêtements que j’avais dans les bras le temps d’une seconde, et cette personne avait disparu.

 Je n’avais jamais vu cette dame auparavant, je m’en souviens comme d’une personne coquette aimant le parfum et les belle robes sans aucun doute ...
J’ ai toujours eu du mal à maitriser tout cela, comme si cela s’imposait à moi. Cela devenait pour moi de plus en plus insupportable, trop difficile d’avoir cette faculté où ce don, une chose était sûre : je n en voulais plus.
Je voulais vivre comme les filles de mon âge et m’amuser insouciante ;  ne plus avoir peur la nuit et arrêter de dormir avec une veilleuse!!
Il est dur d attendre où d être dérangée sans arrêt la nuit ; je n’ai d ailleurs jamais aimé cela, je pensais avoir trouvé une solution pour leur échapper en déménageant ; mais peine perdue, après avoir déménagé une dizaine de fois j’ai du me rendre à l’évidence : ces manisfestations me suivaient partout où j’allais.

Un ami prêtre, qui est heureusement toujours là pour me rassurer a bien essayé essayer de les chasser, mais sans succès.

Me voilà donc réduite à prier pour eux pour les faire aller vers la lumière. Je comprends désormais qu’il est important de pas retenir les défunts avec notre douleur.
En effet une chose est sûre : c est qu’il faut continuer à vivre, notre tristesse ne fait que retenir les défunts et les empêche de  se diriger vers la lumière. Une seule chose à faire : Prier pour eux...

Longtemps j’ai essayé de guider certaines personnes,  mais sans jamais leur dire ce que je ressentais  autour d’eux, ces phénomènes restent très mal vus ou incompris dans notre société  moderne…

Ma vie a toujours était habitée par ces manifestations, je suis par exemple habituée à apprendre certaines choses à l’avance, mais pas tout Dieu merci!

Je ne retiens que les informations les plus importantes,  la médiumnité s’impose à nous Médiums, nous ne commandons pas, nous ne pouvons pas tout savoir non plus, « ils » nous les disent les choses les plus importantes, ou du moins les choses qu’ils veulent bien nous révéler.

Cependant sachez que chaque personne décide de son chemin de vie, nos prédictions sont à recevoir comme des conseils, vous restez maître de votre destin !
Une medium ne changera pas votre vie à proprement parler ; c’est à vous de prendre en main votre existence, le Médium est seulement là pour vous accompagner, il vous éclaire quelques fois et vous encourage souvent sur votre chemin.

Une dernière chose : si un jour vous entendez parler d’enfants sensibles ou medium, ne prenez pas leurs angoisses à la légère ; pour les aider il vous suffira de les accompagner et de les rassurer surtout!

                                                                                                                             Sinéla.

14 janvier 2014

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